Perspectives d’emploi Électricien/électricienne à l’Île-du-Prince-Édouard
Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme de électricien/électricienne à l’Île-du-Prince-Édouard ou dans l’ensemble du Canada.
Débouchés à l’Île-du-Prince-Édouard
Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 29 novembre 2023.
Perspectives au cours des 3 prochaines années
Les perspectives d'emploi seront bonnes pour les électriciens/électriciennes (sauf électriciens industriels/électriciennes industrielles et de réseaux électriques) (CNP 72200) à l'Île-du-Prince-Édouard pour la période 2023 à 2025.
Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :
- la croissance d'emploi prévue devrait entraîner la création de plusieurs postes
- un certain nombre de postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
- quelques travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession
Les perspectives d’emploi pour cette profession demeurent bonnes puisqu’il y a toujours une pénurie de travailleurs et des postes vacants dans la province en raison de gains solides à la fois dans l’investissement résidentiel et non résidentiel. La demande de travailleurs dans cette profession devrait demeurer favorable en raison de la construction domiciliaire continue pour soutenir l’accroissement de la population, ainsi que les travaux d’entretien, de rénovations et de réparations. En réponse au faible taux d’inoccupation et à la pénurie de logements dans la province, le gouvernement de l’Île-du-Prince-Édouard a annoncé son intention de rembourser la partie provinciale de la TVH sur les nouvelles constructions locatives. Cette mesure fait suite à l’annonce du gouvernement fédéral d’éliminer les frais de TPS et sa partie de la TVH sur les nouveaux logements locatifs afin d’encourager la construction de nouveaux logements. Les possibilités devraient surgir puisqu’il faudra remplacer les travailleurs qui prennent leur retraite.
Les travaux d’entretien, de réparation et de modernisation des systèmes informatisés de chauffage, d’éclairage, de ventilation, de conditionnement d’air et de systèmes d’alarme dans les bâtiments pourraient continuer à créer des possibilités d’emploi pour les électriciens ayant des connaissances spécialisées relatives à ces systèmes. Les électriciens doivent souvent voyager d’un lieu de travail à l’autre et travailler des heures supplémentaires et la fin de semaine. Il pourrait être intéressant pour les électriciens qui souhaitent établir leur propre entreprise d’explorer les occasions appropriées d’investissement.
Voici quelques faits saillants au sujet des électriciens/électriciennes (sauf électriciens industriels/électriciennes industrielles et de réseaux électriques) à l'Île-du-Prince-Édouard :
- environ 550 personnes occupent un poste dans cette profession
- les électriciens/électriciennes (sauf électriciens industriels/électriciennes industrielles et de réseaux électriques) travaillent principalement dans les industries suivantes :
- construction (SCIAN 23) : 93 %
- 66 % des électriciens/électriciennes (sauf électriciens industriels/électriciennes industrielles et de réseaux électriques) travaillent toute l'année tandis que 34 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 59 % et 41 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 44 semaines par rapport à 41 semaines dans toutes les professions
- 16 % des électriciens/électriciennes (sauf électriciens industriels/électriciennes industrielles et de réseaux électriques) sont des travailleurs autonomes, par rapport à 13 % dans toutes les professions
- leur répartition selon le sexe est :
- hommes : plus de 95 % par rapport à 51 % dans toutes les professions
- femmes : moins de 5 % par rapport à 49 % dans toutes les professions
- le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
- pas de diplôme d'études secondaires : n.d.
- diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : 8 % par rapport à 28 % dans toutes les professions
- certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : 47 % par rapport à 11 % dans toutes les professions
- attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 36 % par rapport à 25 % dans toutes les professions
- baccalauréat : moins de 5 % par rapport à 17 % dans toutes les professions
- certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : n.d.
Conditions du marché du travail au cours des 10 prochaines années
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