Perspectives d’emploi Ingénieur naval/ingénieure navale en Colombie-Britannique

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Cette profession comprend des appellations d’emploi dont les tâches et responsabilités principales ont un impact positif sur l’environnement. Le Guichet-Emplois utilise une liste de professions qui ont été identifiées comme " vertes " grâce à une analyse basée sur les tâches menée par le Occupational Information Network (O*NET) des États-Unis (disponible en anglais seulement), qui a été reconnue par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et adaptée à la Classification nationale des professions (CNP) au Canada. Cette liste est appelée à évoluer au fil du temps. Pour en savoir plus.

Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme d’ingénieur naval/ingénieure navale en Colombie-Britannique ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés en Colombie-Britannique

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 29 novembre 2023.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Les perspectives d'emploi seront limitées pour les autres ingénieurs/ingénieures (CNP 21399) en Colombie-Britannique pour la période 2023 à 2025.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

• la décroissance d'emploi prévue devrait entraîner l'abolition de certains postes
• un certain nombre de postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
• quelques travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession

• À mesure que se poursuivent les grands projets dans la province, la demande pour les professions en génie continuera d’être importante. Les exigences accrues en matière d’études et le niveau élevé des connaissances techniques nécessaires pour ces postes font en sorte que le recrutement est difficile. La demande pour cette profession devrait correspondre à celle de l’industrie de la construction.

Voici quelques faits saillants au sujet des autres ingénieurs/ingénieures en Colombie-Britannique :

• environ 3 100 personnes occupent un poste dans cette profession
• les autres ingénieurs/ingénieures travaillent principalement dans les industries suivantes :
  • autre transport et entreposage (SCIAN 482-483, 486, 487, 493) : 37 %
  • architecture, génie et services connexes (SCIAN 5413) : 17 %
  • administration publique fédérale (SCIAN 911) : 10 %
  • autres services professionels, scientifiques et techniques (SCIAN 5414, 5416-5419) : 8 %
  • fabrication d'autre matériel de transport (SCIAN 336, sauf 3366) : 6 %
• 74 % des autres ingénieurs/ingénieures travaillent toute l'année tandis que 26 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 61 % et 39 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 45 semaines par rapport à 42 semaines dans toutes les professions
• 6 % des autres ingénieurs/ingénieures sont des travailleurs autonomes, par rapport à 17 % dans toutes les professions
• leur répartition selon le sexe est :
  • hommes : 87 % par rapport à 52 % dans toutes les professions
  • femmes : 13 % par rapport à 48 % dans toutes les professions
• le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
  • pas de diplôme d'études secondaires : moins de 5 % par rapport à 8 % dans toutes les professions
  • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : 6 % par rapport à 28 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : 12 % par rapport à 13 % dans toutes les professions
  • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 25 % par rapport à 17 % dans toutes les professions
  • baccalauréat : 28 % par rapport à 22 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : 28 % par rapport à 12 % dans toutes les professions

Ventilation par région

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Source Information sur le marché du travail | Méthodologie des perspectives d’emploi