Perspectives d’emploi Cuisinier/cuisinière de petits déjeuners au Nunavut

Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme de cuisinier/cuisinière de petits déjeuners au Nunavut ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés au Nunavut

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 11 décembre 2024.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Les perspectives d'emploi seront modérées pour les cuisiniers/cuisinières (CNP 63200) au Nunavut pour la période 2024 à 2026.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

• la croissance d'emploi prévue devrait entraîner la création de plusieurs postes
• quelques postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
• le roulement élevé de personnel dans cette profession pourrait entraîner des possibilités d'emploi supplémentaires

• L'augmentation du financement des services sociaux et les efforts prévus en matière de logement et de sécurité alimentaire au Nunavut pourraient appuyer les possibilités d'emploi dans cette profession.
• Le programme de Nutrition Nord Canada sera examiné en 2025. L'examen vise à trouver des façons d'améliorer le programme et la sécurité alimentaire dans le Nord. Les résultats pourraient mener à des possibilités d'emploi dans cette profession au cours de la période de prévision.
• Au-delà de la période de prévision, le Conference Board du Canada (2024) prévoit que cette profession se classera parmi les trente premières pour ce qui est de tous les postes vacants au Nunavut de 2024 à 2045.

Voici quelques faits saillants au sujet des cuisiniers/cuisinières au Nunavut :

• environ 150 personnes occupaient un poste dans cette profession en mai 2021
• les cuisiniers/cuisinières travaillent principalement dans les industries suivantes :
  • tourisme et culture (SCIAN 51, 71-72) : 47 %
  • soins de santé et assistance sociale (SCIAN 62) : 16 %
  • administration et défense (SCIAN 91) : 15 %
  • extraction minière, exploitation en carrière, et extraction de pétrole et de gaz (SCIAN 21) : 7 %
• leur répartition entre le travail à temps plein et à temps partiel est :
  • travail à temps plein : 76 % par rapport à 87 % dans toutes les professions
  • travail à temps partiel : 24 % par rapport à 13 % dans toutes les professions
• 52 % des cuisiniers/cuisinières travaillent toute l'année tandis que 48 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 72 % et 28 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 38 semaines par rapport à 44 semaines dans toutes les professions
• leur répartition selon le sexe est :
  • hommes : 28 % par rapport à 51 % dans toutes les professions
  • femmes : 72 % par rapport à 49 % dans toutes les professions
• le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
  • pas de diplôme d'études secondaires : 46 % par rapport à 37 % dans toutes les professions
  • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : 22 % par rapport à 22 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : 22 % par rapport à 11 % dans toutes les professions
  • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 5 % par rapport à 15 % dans toutes les professions
  • baccalauréat : 5 % par rapport à 10 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : n.d.

Conditions du marché du travail au cours des 10 prochaines années

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